Il faut rapporter des choses chez soi. Il faut prendre du « dehors », des paysages, des horizons et des ciels pour contredire la limite des maisons, il faut prendre des « autres », des regards, des douceurs, des désespoirs pour contredire la limite de notre solitude, il faut prendre de quoi se réveiller avec énergie et s’endormir avec confiance. La peinture accroche aux murs l’inépuisable lumière.
You have to bring things home. We must take from « outside », landscapes, horizons and skies to contradict the limit of houses, we must take from « others », looks, sweetness, despair to contradict the limit of our loneliness, we must one things to wake up with energy and fall asleep with confidence. The paint hangs on the walls the inexhaustible light.
MARIE GABRIELLE DUC, L'ATELIER 